La chasse à la maison
Plaidoyer pour un Office des Libertés
Allez
en paix pêcheurs
Mururoa mon amour
La chasse à la maison
Bon vous allez tout de même pas me faire dire que je suis pro-Européen et défende la commission de Bruxelles sachant comment fonctionnent ces instances et l'illusion utopique sur laquelle repose la construction européenne.
D'accord hier je louais les menaces contre la golden-share, mais il n'y a pas que la Commission.
La Cour Européenne des droits de l'homme, qui n'a rien à voir avec les institutions communautaires, tout en étant bien européenne, fait, elle, un sacré bon boulot. Je ne l'ai pas passé au microscope mais ses décisions me plaisent et notamment sa condamnation de la loi Verdeille le 29 avril 1999.
Mais oui, cette loi inique, comme bien d'autres, qui autorise les chasseurs à se ficher comme d'une guigne de la propriété privée d'autrui pour les besoins de leur "art cynégétique" !!! En gros, il ne fallait pas jusqu'à présent réagir si une bandes d'avinés venaient tuer biche ou sanglier sur votre perron, et surtout il n'était même pas légal de s'interposer et encore moins de répliquer en jouant au chasseur de chasseurs sur ses propres terres.
La Cour Européenne a enfin déclaré que cette loi portait atteinte à la propriété privée et à la liberté de conscience. Ainsi même si les législateurs français n'ont pas abrogé la loi Verdeille à ce jour, tout propriétaire pourra ainsi désormais défendre sa propriété de la meilleure manière qui soit : le fusil entre les dents.
Voilà qui est dit ….
Xavier COLLET, le 9 septembre 1999
Plaidoyer pour un Office des Libertés
Il m'a bien fallu relire 2 fois la page 6 du Monde du 3 septembre 1999. Oh, je lis correctement rassurez vous, mais la réaction du gouvernement à la condamnation de la loi Verdeille le 29 avril 1999 par la Cour Européenne des droits de l'homme, m'a, à proprement parlé, halluciné. Oui, halluciné, le mot n'est pas trop fort, que les hommes de l'État dévoilent ainsi leur vilenie sans rencontrer la moindre réaction m'a laissé sur le cul.
Mais que je m'explique : j'ai déjà évoqué la loi Verdeille il y a 2 mois (cf. Observatoire des Sévices Publics), cette loi condamnée pour atteinte à la propriété privée et à la liberté de conscience, pour autant les législateurs français ne l'avaient pas abrogé. Non, ils ne l'ont pas abrogé et pour cause la soi disante ministre "anti-chasse" Voynet déclarait dans "un regard sur le Haut-Doubs" que cette pourriture de loi était très bonne et que le gouvernement n'avait pas l'intention de l'abroger !
Là dessus déboule Patriat, le chargé de mission chasse du gouvernement, un homme pétri de libre arbitre en témoigne sa déclaration : "quand je rate une bécasse (parlait-il de Voynet ?), je suis furieux, quand j'en tue une, je suis malheureux". Plein de morgue, le repris de justice Patriat, comme tous les hommes de l'État, auteurs de cette loi condamnée comme liberticide, a l'aplomb de se réfugier derrière d'autres brigands impunis : "l'interprétation (sic) de la Cour européenne de justice (re sic) et celle du Conseil d'État rendent toute négociation impossible".
Comme si un condamné pourrait négocier la perpétuation de ses crimes !
Halluciné ? Non pas encore. Mais quand j'apprend que l'État en la personne de son chargé de mission réclame une rançon contre l'exercice dans ce pays des droits inaliénables de la propriété privé, là j'hallucine. Non, bien sûr les impôts existent, mais la situation est différente, voyez vous le condamné État français sait qu'il devra s'exécuter mais il tente de transformer une loi liberticide en une mise sous surveillance et taxation de ses "citoyens". Même une condamnation qui devrait non laisser une plus grande liberté individuelle devient une occasion supplémentaire de nous tondre.
Eh oui, Patriat propose de conserver la loi Verdeille en la réécrivant. Le droit d'empêcher le viol des propriétés de moins de 20 hectares aux viandars sera assorti de conditions : l'obligation de délimiter le terrain, de "gérer le biotope pour éviter la prolifération du gibier", et, mais oui, de participer au paiement des dégâts occasionnés par le gibier.
On sent bien le futur impôt (ou cotisation) déguisé et l'atteinte réitérée à la liberté de conscience des non-chasses. Comment cela monsieur, on ne peut tuer sur votre parcelle ? ! Dans ce cas payer ! Car à cause de vous il y a trop d'animaux vivants et ils occasionnent des troubles à la sacro-sainte communauté.
D'ailleurs dans cette logique, Patriat envisage une réforme de l'Office national de chasse, chargé du contrôle de l'activité des fédérations départementales de chasseurs. L'Office deviendrait un organe paritaire de chasseurs, d'écologistes et de représentants de l'État et aurait pour objectif la gestion de la faune, il devrait se financer comme actuellement par les cotisations de chasses, mais aussi on l'attend par celles de ceux qui refusent l'intrusion sur leur propriété !!!
Dans cette logique et considérant qu'il y a trop d'hommes de l'État vivant, qu'ils portent atteinte à la communauté, il est temps de créer un Office de la Liberté et d'y recueillir les contributions de nos nuisibles.
Xavier COLLET, le 16 septembre 1999
Ah
mais ça devait arriver forcément ! Déjà on se rappelle bien les
batailles navales dans le golfe de Gascogne entre les pêcheurs espagnols et
français, c’est que ça chauffait et que dis-je ça chauffait, le torchon brûle
encore. Un beau jour les media en ont parlé, eh oui il a failli y avoir mort
d’hommes, la flotte transpyrénéenne avait carrément éperonné un bateau de
pêche .
Aujourd’hui
Bruxelles a tranché et a infligé une amende à la France, enfin il faut lire
aux contribuables français, sûr que ce n’est pas la première fois que les
contribuables paient pour une mauvaise administration. Ben évidemment,
l’administration a laissé faire les vilains pêcheurs français et ça on
doit le sanctionner sur notre dos. Mais au fait qu’ont ils fait ? Coulé
des navires espagnols, envoyé par le fonds l’invincible Armada ? Pire,
ils ont cédé à l’immonde loi du profit maximum, ils ont dépassé les
quotas de pêche du cabillaud et posé de trop grands filets, ils ont mangé le
pain des espagnols quoi !
Enfin
non, il faut pas le dire comme cela, ce sont les eaux internationales et le
poisson y appartient à tout le monde. Bon alors qu’est ce qu’on leur
reproche s’ils se servent dans ce qui appartient à tous c’est-à-dire à
personne ? Hum oui difficile. Alors disons qu’on leur reproche de se
servir plus que de nécessaire. Il faut bien blâmer ces techniques de pêches
de plus en plus modernes qui marquent là encore une course à la productivité
alors que le respect des quotas de pêche pourrait être atteint avec des méthodes
bien plus artisanales.
Mais,
à part le commissaire européen Frank Fischler - un nom prédestiné -, qui se
soucie de ces quotas ? Les contrôleurs français avalisent des décomptes
minorant les prises, les politiques ne veulent pas se mettre à dos le lobby des
pêcheurs et surtout les marins de nos côtes se disent que ce qu’ils ne pêcheront
pas sera péché par les autres. Quand on sait que les poissons appartiennent au
premier qui les a péchés et que leur stock s’épuise alors autant se servir
au maximum avant qu’il n’y en ait plus ! C’est que l’absence de
droits de propriété prédéfinis n’encourage personne à se donner les
moyens de renouveler ou épargner une faune aquatique qui profitera peut être
au voisin plutôt qu’à soi.
Il
y a donc fort à parier que les espagnols ne respectent pas non plus des quotas
toujours revus à la baisse par Bruxelles, en témoigne d’ailleurs la
disparition de la sole des côtes européennes. Mais une solution est en vue
quand ce qui n’appartient à personne n’est entretenu par personne et cette
solution c’est … le contrôle administratif à coups de commissaires européens
et si l’on veut que ce soit fiable il faudra se serrer la ceinture car à
chaque chalut son commissaire pour une centaine de milliers d’euros par mois
la tête de pipe.
Ah mais diantre, il faut ce qu’il faut.
Xavier
COLLET, le 18 novembre 2002
Me débarrassant de mes vieilles archives, je tombe sur un VSD du 21 septembre 1995. Ah c'est pas de première fraîcheur. Mais rappelez vous, c'était les derniers éclats de la bombinette à Mururoa. Quelques petites émanations radioactives à l'initiative du bon vieil État français. Que les voisins de l'atoll ne s'affolent pas, les nuages empoisonnés de Mururoa sont un peu comme ceux de Tchernobyl, ils écoutent bien les autorités françaises. Quoi, une nuée radioactive issue de la centrale ukrainienne se présente à l'entrée du territoire, hop là vos papiers ! Rebrousser chemin vilain nuage, pas de ça chez nous.
La Cogema est là pour nous dire que les essais étatiques n'ont aucune répercussions sur la santé des habitants ni sur l'écosystème. Pourtant Matthew Whiting, engagé à la légion étrangère sous le nom de Mike Winters, est resté à Mururoa du 17 novembre 1981 au 17 novembre 1982 le temps d'assister à 15 explosions nucléaires souterraines. Envoyé préparer les emplacements des bombes, il raconte avoir croisé des chats aveugles, des poissons qui nagent le ventre en l'air, des requins au corps difforme. Il a peur d'avoir subis une contamination, d'avoir un enfant leucémique.
L'armée a répondu en le prétendant paranoïaque. Mike continue et soutient que des hommes ont disparu, c'est d'ailleurs ce qui a failli advenir de lui lorsque, en reportage pour Green Peace le 1er septembre 1999 sur Mururoa, il échappe de justesse à une exécution sommaire menée par un régiment de parachutistes.
Toujours prête au sales besognes cette putain d'armée française. Je me rappelle d'ailleurs mes classes de servage obligatoire à la base aérienne d'Évreux chez les gardes chiourmes affectés à la protection des lieux. Le sergent nous y expliquait bien le boulot : au moindre mouvement suspect aux abords, ouvrer le feu. N'attendez pas et tirer dans la tête, en cas d'erreur s'ils étaient en dehors de l'enceinte, ramenez les corps à l'intérieur. Tirer pour tuer en cas de bévue l'armée vous couvre ; s'ils peuvent témoigner vous vous débrouillerez tout seul.
Tout un état d'esprit au service de l'État. Patience on les aura.
Xavier COLLET, le 7 novembre 1999
Les journaux et les médias officiels célèbrent, avec les accents d'usage et comme il se doit dans la désinformation générale, le projet de charte de l'environnement qui serait inscrit dans la constitution par la volonté d'un seul homme.
Sans crainte du ridicule, le Figaro célèbre la "révolution verte".
Il va être écrit que chacun a " le droit de vivre dans un environnement équilibré et favorable à la santé" et, aussi, que chacun devra "prendre part à la préservation et à l'amélioration de la qualité de l'environnement".
L'opération a été organisée avec l'aide d' experts, sous la présidence d'Yves Coppens, ces experts ayant été évidemment sélectionnés au regard de leur adhésion à l'idéologie ambiante.
Est évoqué le principe de précaution et même un nouveau principe baptisé à la hâte de "principe de réparation" au nom duquel toute personne devrait réparer les atteintes qu'elle cause à l'environnement. Les plus déchaînés évoquent même une "Cour internationale de l'environnement".
Toutes ces chimères sont typiques du dirigisme et du socialisme, l'écologie dans sa forme publique n'étant que le visage attardé du socialisme qui y trouve une nouvelle jeunesse après ses multiples échecs dans le monde entier..
Elles démarrent par la création d'un faux droit.
Personne et pour cause ne peut dire ce que signifie dans la langue française, telle qu'elle est pratiquée et compte tenu des connaissances actuelles, l'expression "droit à un environnement équilibré et favorable à la santé".
Au nom de ce faux droit et dans le flou institutionnalisé une multitude de difficultés juridiques vont naître. L'effet de ruine généré par le socialisme, celui d'aujourd'hui comme celui d'hier, vient largement de la multiplication des lois, de leur obscurité, de leurs contradictions et des incertitudes qui en résultent. Ruinant davantage les gens d'aujourd'hui sous le prétexte fallacieux de protéger les générations futures, le pouvoir enlèvera à la génération présente les moyens de gérer correctement l'environnement et donc de préserver justement l'avenir.
Également, au nom de ce faux droit, certains, à savoir les politiques, les fonctionnaires, les chefs syndicalistes et autres "Hifis", acquerront à bon compte le droit effectif de diriger la manœuvre selon leur bon plaisir passager et au nom de leurs intérêts électoraux ou plus directement financiers ; ils auront celui de brimer tous les autres dans leurs droits légitimes de propriétaires ou de contractants.
En France il existe non seulement un ministère de l'écologie mais un secrétariat d'État au développement durable et une foule d'organismes annexes : par exemple, entre autres, un Observatoire national des effets du réchauffement climatique (ONERC) et une mission interministérielle de l'effet de serre (MIES). Toutes ces bureaucraties sont le siège de fructueuses prébendes.
Les motifs invoqués ou inventés à l'occasion seront nombreux : biodiversité, développement durable devenu maintenant le développement soutenable, protection des espèces, lutte contre l'effet de serre. Chacun de ces objectifs à la mode est chimère reposant sur d'autres chimères. Quand une chimère a reçu l'aval de scientifiques plus ou moins salariés de la pensée unique, elle sert de trône à une autre chimère qui bénéficie à son tour d'une bénédiction publique et d'une assurance tous risques.
Des idées complètement folles circulent, comme par exemple celle de cesser d'extraire de la croûte terrestre des matériaux sinon en pouvant les réinjecter au même rythme. Si dans la nuit des temps cette idée avait été appliquée, aucun minerai ne serait jamais exploité aujourd'hui. En fait, resurgit la philosophie du club de Rome qui visait à la croissance zéro et pour finir à l'humanité zéro.
Le caractère vague des chimères donnera des pouvoirs exorbitants aux Hifis qui s'embusqueront au passage pour raffiner, défendre et illustrer, non sans prélever leur droit de péage. La richesse des Hifis et notamment des élus est toujours au bout du chemin et devient dans les faits l'objectif absolu bien que jamais avoué.
N'avouez jamais.
C'est la raison de l'espoir dans un tribunal international, source de futures et riches fonctions pour les écolos et leurs compagnons de route.
La seule façon de protéger l'environnement est de respecter le droit de propriété et les contrats librement débattus.
Le socialisme a détruit au moins une mer, la mer d'Aral, et en grande partie une terre, la terre d'Ukraine. Avec le principe de précaution Christophe Colomb n'aurait pas été en Amérique.
Ce faisant et malgré les coups de moulinet, la France n'a pas pris les mesures nécessaires pour échapper aux drames du genre de l'Erika ou du Prestige, alors que les USA ont fait le nécessaire. Probablement, en ce domaine comme en d'autres, l'Europe a joué son rôle dans la calamité : les pays qui adhèrent, le plus souvent d'ailleurs contre leurs opinions publiques si elles pouvaient s'exprimer librement, n'ont plus leur indépendance et s'enlisent dans des discussions impossibles et des délais insupportables. Une France indépendante aurait pris les mesures utiles dans le cadre de négociations rondement menées.
Michel De PONCINS, le 5 juillet 2003
Question : Le libéralisme laisse les pollueurs dans leur course aux profits saccager la planète.
Je vais te dire ce qui se passe actuellement puisque l’on parle de pollueurs impunis. Il vaut franchement mieux être un organisme d’Etat ou une entreprise publique pour polluer dans l’impunité, d’ailleurs à ton avis qui pollue le plus Danone ou EDF ?
Dis moi ce que tu fais quand tu habites Alfortville avec en face la centrale EDF de Vitry qui te respire du dioxyde de souffre en attendant qu’elle s’équipe d’un système de désulfuration. Qui me paiera pour des dommages effectifs à ma santé, et plus largement qui paie les dommages aux riverains quand l’Etat est coupable ou alors quand il protège certains coupables comme dans le cas des pollutions d’eau au nitrate par les éleveurs (double condamnation de la France le 8 mars 2001 et le 27 juin 2002 par la cour Européenne) ? Qui paiera sinon les contribuables pour nettoyer les plages polluées par des dégazages quand l’Etat n’est pas capable d’identifier les pollueurs et les dispense de remboursement, les encourageant ainsi à recommencer.
Tiens et puis je vais te parler de la COGEMA, ce beau fleuron de l’industrie d’Etat spécialisé dans le combustible nucléaire avait été accusé par une association « Sources et rivières du Limousin » d’avoir pollué rivières et lac avec des éléments radioactifs issus d’une mine d’uranium exploitée de 1949 à 1991. Plainte déposée en 1999 et mise en examen en septembre 2002 seulement pour « pollution, abandon et dépôts de déchets », mais, tiens comme c’est bizarre, un non-lieu est réclamé par le parquet de Limoges en août 2003 et en plus le parquet fait aussi appel du renvoi ordonné pour instruction en reprenant comme parole d’évangile les arguments de la COGEMA sur le respect des normes. Sûr que quand le pollueur est l’Etat la justice passe et le bon peuple est informé …
Tout cela n’a rien à voir avec le libéralisme, dans une société libertarienne pas d’Etat pas de passe-droit, nul ne peut échapper à ses responsabilités, le pollueur doit payer pour les dommages qu’il inflige. Ce n’est plus comme souvent au contribuable de payer pour remettre en état ce qui a été pollué sur le domaine public.
Question : Comment empêcher les gros
industriels de trop polluer sinon par des réglementations ?
La menace du dédommagement est un élément efficace de dissuasion pour
les pollueurs, particulièrement quand les coûts sont monumentaux et dissuadent
les assurances de prendre en charge les récidivistes de la pollution.
Evidemment la responsabilité civile du pollueur est d’autant plus affirmée que
les plaignants sont de multiples personnes privées, la privatisation complète
du domaine public est à cet égard une garantie supplémentaire contre les menaces
à l’environnement. Bien sûr on a vu en France qu’il est impossible d’attaquer
sauf si l’on agit en association et encore, l’Etat tient davantage compte des
intérêts industriels et des risques à l’emploi que des prétentions des personnes
privées à maintenir la propreté de leurs propriétés.
Question : Mais n’avons-nous pas besoin
de la capacité d’expertise et de prévention de l’Etat pour éviter la destruction
de l’environnement ?
Notre environnement est déjà détruit par l’Etat, on a vu que la confiance accordée
aux organismes de prévention ne doit pas être aveugle, qui croit encore qu’il
suffisait d’une frontière pour arrêter le nuage empoisonné de Tchernobyl, qui
a dit qu’il ne fallait pas consommer les laitues, les carottes à l’époque, qui
a mis en garde contre les cancers de la thyroïde, qui a démissionné devant son
rôle de prévention ? Laisser à la charge de notre seul Etat la protection
de l’environnement revient à demander au renard de protéger le poulailler.
Après tout n’est ce pas dans les ex pays communistes, là où l’Etat avait le contrôle total de l’environnement, que les catastrophes écologiques sont les plus criantes …
Xavier COLLET le 30 mars 2004