Application comparée de la peine de mort
La nouvelle est tombée au matin du
22 mai, vers 11h., sur les ondes de France Culture : la Chine qui est un pays
où l'on contrôle la morale de ses concitoyens et qui réprimande sévèrement la
pornographie, a sévi.
Par ailleurs si la Chine a maintenu la peine de mort, elle ne la pratique pas
sauvagement et artificiellement comme le font les américains qui utilisent une
piqûre contenant des produits chimiques, ou la chaise électrique, deux méthodes
dont la rapidité ne laisse même pas au condamné le temps de la repentance, elle
n'utilise pas non plus le couloir de la mort.
Non la Chine est écologique, c'est ce que nous a appris ce 22 mai France Culture
en nous en donnant la preuve que voici.
Une jeune et jolie femme se faisait filmer en posture intime pour des films pornographiques,
ce qui est interdit en pays de démocratie communiste.
Découverte, virée de son job, elle a ensuite été condamnée. Or pour ce crime c'est
la peine de mort qui est prévue et qui fut appliquée par un de ces beaux matins
du mois de Mai 2001.
Mais ici, en Chine, pas de moyen artificiel de prévu. La méthode de punition pour
cette contrevenante est bien décrite jusque dans ses détails par le code pénal
chinois, elle est aussi promptement appliquée. La jeune femme fut amenée dans
la cour de la prison, puis enterrée à mi-corps et lapidée, lapidée, lapidée,
et encore lapidée, jusqu'à ce que mort s'ensuive.
C'est pas un moyen naturel et propre ça madame?
D'ailleurs devant un procédé aussi nature, ni nos écolos, ni B.H.L., n'ont trouvé
bon de manifester.
Arts
Gazette International, le 24/05/2001