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L'iFRAP


Cher ami (e),

 

Encouragez-vous vos enfants à quitter la France ?

Vous êtes-vous demandé combien de scandales il faudra dénoncer pour que nos enfants puissent naître dans un pays où ils seront sûrs de pouvoir y construire leur avenir ?

Le Crédit Lyonnais, le GAN ne sont que de petits exemples des dérives de l'administration : enrichissement personnel, dépenses somptuaires, investissements malencontreux …

 

Si le gouvernement augmente la CSG, taxe l'épargne, c'est que malgré tous nos efforts, il a besoin de toujours plus d'argent pour entretenir une fonction publique pléthorique.

700 milliards de francs, voilà ce que nous payons - vous et moi - pour l'entretien des fonctionnaires.

Ces 700 milliards représentent 40 % du budget de l'État. C'est le premier poste budgétaire de la Nation !

Notre administration nous coûte trop cher.

 

C'est pourquoi l'iFRAP - institut Français pour la Recherche sur les Administrations Publiques - milite à travers des dossiers chiffrés et argumenté pour : 

*  fermer certaines agences de l'État totalement obsolètes et qui nous coûtent cher ;

*   mettre fin aux gaspillages des administrations, à leur train de vie ;

*   ne plus accepter les sureffectifs dans l'administration.

 

Pour recevoir les résultats de nos investigations, c'est facile, il vous suffit de nous écrire.

 

Car savez-vous que pendant que vous essayez de dépenser moins, devant vous acquitter de plus d'impôts, députés et sénateurs bénéficient de 100 millions de francs supplémentaires pour assurer leu train de vie parisien, voitures de fonction …

Mais vous, combien de privations allez vous devoir imposer à vos enfants parce qu'encore une fois le gouvernement nous demande un effort ?

La démesure dépasse l'entendement.

Nous ne pouvons pas continuer à payer sans savoir pourquoi.

A l'iFRAP, notre équipe d'enquêteurs pousse l'administration, qui engloutit sans vergogne nos impôts, à justifier ses dépenses.

C'est en effet faute d'information que nous continuons à financer des erreurs de L'administration comme celles du Crédit Lyonnais.

Le secret administratif n'est plus tolérable.

 

Notre équipe travaille avec acharnement :

  1. Pour obtenir les documents de l'administration : ils sont publics et pourtant toujours introuvables, cachés ou tenus secrets ;

  2. A déchiffrer ces documents : ils sont toujours obscurs, abscons. L'équipe a développé de véritables compétences d'experts des documents budgétaires et administratifs, les uns ayant une formation de juristes, les autres d'économistes.

 

Les résultats de pareilles investigations sont étonnants.

 

L'iFRAP a sorti, en mai 1997, un numéro sur les "50 milliards de francs de trou de la Caisse française de développement", la banque du gouvernement qui prête notre argent à l'Afrique. Le quotidien Libération dans son numéro du 12 mai reprenait, à chaud, l'information, titrant :

"Un trou dans la caisse française de développement"

"Une nouvelle pièce vient d'être versée au dossier déjà accablant de la politique française en Afrique. Selon l'institut français pour la recherche sur les administrations publiques, la Caisse française de développement (CFD) est en situation de faillite virtuelle."

 

Les dossiers de l'iFRAP font éclater au grand jour l'information que l'administration tend à dissimuler

Le Figaro, Les Échos, l'Express, Valeurs Actuelles ont aussi participé à promouvoir notre action tant nos dossiers les interpellent. Valeurs Actuelles a repris dans son numéro du 13 février 1999 en page 20 :

"L'institut français pour la recherche sur les administrations publiques (iFRAP) est sans aucun doute l'un des mieux informé (…) Ce think tank libéral s'est imposé par le sérieux de ses analyses".

 

L'Assemblée Nationale a mené une enquête sur l'INSEE.

Nous avons été directement sollicités par le parlementaire en charge de l'affaire. Et de son propre aveu, nous étions les seuls à dire : "il faut couper". Normal, en dehors de l'iFRAP, il n'a interrogé que des fonctionnaires qui lui demandaient plus d'argent. Mais l'INSEE dépense déjà 500 millions de francs de trop. Cela suffit ! Il faut quelqu'un pour le dire.

Il faut harceler l'État, pour lui faire comprendre qu'il ne peut pas tout faire, ne sait pas tout faire et qu'il peut faire des économies.

Quand l'État se mêle d'innovation, c'est 500 francs par an et par contribuable qui partent en fumée. (Dossier de l'iFRAP sur l'ANVAR).

Quand l'État veut aider les chômeurs à trouver du travail, c'est plus de 200 milliards de francs investis en pure perte. (Dossier de l'iFRAP sur l'ANPE).

Imaginez combien d'emplois auraient été maintenus, si ces 200 milliards de francs étaient restés dans l'économie marchande ?

Ces 200 milliards de francs ont-ils changé votre situation ? Oui, en augmentant vos impôts de 10 000 francs par foyer. Oui, en détruisant 200 000 de vos emplois, mettant vos proches au chômage.

Les promesses des différents gouvernants ne servent aujourd'hui qu'à enrichir l'administration et mettent sur le dos de nos enfants plus de 4 000 milliards de francs de dettes !

Pour vous, vos enfants, la précarité s'installe.

Pour le fonctionnaire, votre généreuse contribution lui permet de justifier son emploi et de créer d'autres postes.

Et ce n'est pas fini ! Avec 350 000 emplois supplémentaires dans la fonction publique, c'est encore 35 milliards de francs que l'État ira chercher dans vos poches.

On ne peut plus accepter que la France soit coupée en deux. La France est le seul pays où l'emploi public augmente alors que l'emploi privé diminue.

C'est pourquoi l'iFRAP existe : pour limiter l'extension de la fonction publique, réclamer plus de transparence au niveau de l'État.

 

Notre premier résultat concret remonte à une dizaine d'années, quand, à la suite du dossier de l'iFRAP sur l'ANVAR, montrant comment cette agence de l'innovation dilapidait notre argent, ses crédits ont été limités et ses effectifs réduits du tiers.

Il y a trop de gaspillages, trop d'argent dépensé on ne sait comment. C'est pourquoi, il faut multiplier par 20, 30 des exemples comme l'ANVAR, l'INSEE ou la CFD.

Voulez-vous que l'État continue à dépenser votre argent sans vergogne, à l'engloutir dans des subventions sans fondement ?

Les exclamations ne suffisent pas : exigez avec moi que l'État nous rende des comptes sur l'utilisation qu'il fait de notre argent.

Nos poches ne sont pas sans fond.

 

A vous de dicter à l'État ce pour quoi vous êtes prêt à payer et ce pour quoi vous ne l'êtes pas. Rejoignez moi et décidez de mettre l'administration sous votre contrôle, celui du citoyen.

L'administration est forte des milliards de francs qu'elle vous prélève par force. Face à elle, l'iFRAP peut être aussi fort, grâce à votre contribution : 360 francs c'est autant de dossiers supplémentaires ouverts sur l'administration.

Les seuls à pouvoir exiger qu'on dépense mieux et moins, c'est vous. Nous l'avons déjà prouvé et nous continuerons à le prouver grâce à votre aide."

 

Bernard ZIMMERN, président de l'iFRAP


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